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Création de décors

                                       

Atelier de Création  Artistique

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Peinture-Murale. Fresque.Décoration




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Atelier de création de peinture-murale sur tout type de supports
plâtre, ciment, pierre, bois, toile, métal....

Création de compositions contemporaines ou inspirées de décors éxistants.

Réalisation des oeuvres avec l'aide de différentes techniques tel que la détrempe, cire, huile, acrylique, alkyde...

Travail à Fresque.

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DESCRIPTIF DE L'ATELIER  :
Création et restauration  de peintures murale,fresque,tableaux,trompe l'oeil,panoramique.L 'atelier réalise des murs peint et de la décoration ornementale.L'atelier de création et restauration de peinture-murale,fresque se situe à Paris (idf France Europe).

En création de peinture-murale, fresque: L'atelier propose de la conception à la réalisation du projet sur le site.Toutes les techniques de peinture-murale sont pratiquées. De la fresque sur enduit de chaux, la détrempe technique à la tempéra, la peinture à l'huile,l'acrylique et les techniques avec des résines modernes (alkyde)...les réalisations vont du trompe l'oeil,le panoramique,le paysage, des scènes avec des personnages (scènes historiées).Les murs peint,panoramiques,trompe l'oeil,fresques,peinture-murale s'intègrent aussi bien dans les appartements privés que dans les batiments publics.La peinture-murale se réalise aussi sur les plafonds (plafond peint).Pour la composition nous pouvons créer un sujet original ou reprendre une peinture-murale,fresque ancienne.
En restauration,restitution de peinture-murale,fresque: L'atelier s'occupe de la restauration-restitution de décors peints (peinture-murale) quel que soit la technique, ancienne ou moderne:fresque,huile,détrempe,acrylique.... (Restaurateur,restauratrices intervenants)
Copies de tableaux: Réalisation de copies de peinture ,tableaux de toutes le époques. et de tout format.
Oeuvres originales: Réalisation de portrait d'après modèle,paysage,nu,nature-morte...Voir le site :
http://www.atelier-cg.com/
http://www.atelier-cg.fr/
http://www.atelier-cg.net/

Historique:

Il est bon de rappeler brièvement comment se situe la peinture murale "fresque" dans l’art monumental. Il y a lieu en effet de distinguer un art simplement décoratif, comme par exemple la décoration d’un simple panneau peint dans une chapelle, d’un art réellement monumental, dans lequel la peinture murale "fresque" fait partie intégrante de l’architecture de l’édifice, au même titre que les sculptures, les chapiteaux, etc. C’est le cas notamment à l’époque romane où, l’architecture étant, pour des raisons techniques, relativement massive, c’est-à-dire pourvue de très peu d’orifices, il devint important de décorer tous les murs par des peintures, tradition héritée des romains, mais qui se développe et prend sa personnalité propre dans l’art roman, pour atteindre son apogée vers les 11e/12e siècle, avec des édifices comme St Savin, qui en est le témoignage le plus significatif parvenu jusqu’à nous. A l’époque gothique, l’ouverture des baies résultant de l’évolution de l’architecture avec l’invention de la voûte d’ogives, laisse de moins en moins de place à ces importantes zones murales pouvant recevoir des décors peints, généralement au profit de vastes baies vitrées, bientôt décorées elles aussi par un art spécifique : le vitrail. Néanmoins, certains édifices continuent à recevoir des peintures de qualité qui peuvent, comme à la cathédrale d’Albi, recouvrir toute la surface laissée libre par les baies vitrées. On trouve ainsi un certain nombre de peintures ornant notamment les chœurs de cathédrales de Narbonne, Clermont-Ferrand, et bien sûr Angers, que nous verrons en détail plus loin.

A la Renaissance, le goût pour l’Antiquité amène les artistes à décorer de nombreux édifices, surtout civils, en particulier un certain nombre de châteaux célèbres, comme celui de Fontainebleau. Au 17e siècle, on trouve encore de grands décors peints dans un certains nombre d’édifices religieux, comme le Val de Grâce, mais au 18e on assiste d’avantage à la réalisation de décors plutôt que d’un art spécifique de peinture murale. Au 19e siècle enfin, de nombreux édifices font l’objet d’une décoration murale, soit religieux (les églises parisiennes notamment, et en particulier l’église St Sulpice avec les peintures de Delacroix, que nous retrouverons plus loin), soit civils, généralement institutionnels, (palais de justice, ou encore la Sorbonne avec Puvis de Chavannes). Quant au 20e siècle, il est difficile de parler d’une tendance générale de l’art mural, étant donné l’éclatement des courants artistiques contemporains et des styles, mais nous verrons néanmoins quelques exemples de ce que l’on peut rencontrer dans ce domaine.

Les techniques d’exécution sont étroitement liées aux époques et à la situation de l’art mural dans celles-ci. Ainsi, l’artiste de la Renaissance s’appliquera à respecter scrupuleusement les règles de la peinture à fresque, héritée des Anciens, et qu’il aura apprises dans les divers traités, disponibles à son époque ; l’artiste du 19e siècle, tel Delacroix, nous le verrons, utilisera les dernières trouvailles de l’industrie chimique naissante pour expérimenter, avec plus ou moins de bonheur, des techniques ou des produits nouveaux ; l’artiste du Moyen Age peint avec ce qu’il a : terres, liants d’origine végétale ou animale, technique plus ou moins maîtrisée, mais inspirée de l’Antiquité, etc.

Article d'origine: http://www.culture.gouv.fr


 C’est dans le courant du 14e siècle que l’usage de l’huile commence à prendre une certaine importance dans la peinture murale (bien que l’idée reçue la plus répandue, concernant la peinture de chevalet, où l’usage systématique de l’huile est réputé apparaître, ou tout au moins se généraliser vers 1430 avec Van Eyck). Cet usage est attesté par plusieurs auteurs, en France on l’a vu, mais aussi en Angleterre [14] à la cathédrale d’Ely (1325-1358), en Catalogne à la chapelle de Petralbes, ainsi qu’en Italie, où Cenini décrit avec précision la technique pour peindre à l’huile sur un mur. Un document de 1325 des archives de Turin décrit même une tentative d’utilisation de l’huile de noix ; nous verrons par exemple que c’est précisément de l’huile de lin qui a, selon toute vraisemblance, été utilisée pour les peintures de la cathédrale d’Angers, qui datent de la même période, comme le montre une étude récente du LRMH*. On trouve d’ailleurs une autre caractéristique de ces peintures dans d’autres édifices de la même époque, à savoir l’exécution directement sur la pierre.

Evolution de la technique au 14e siècle

Comme cela a été déjà évoqué, l’évolution de la technique picturale se fait parallèlement à celle de l’esthétique, dont les règles sont bouleversées à cette époque, notamment par Giotto. Pour résumer cet important phénomène, on peut dire que l’évolution de l’esthétique, qui prend en compte des recherches spatiales de plus en plus complexes, qui acquière par ailleurs une plus grande liberté dans le mouvement et le style, au lieu de se cantonner dans des schémas stylistiques rigides comme ceux de la peinture byzantine, nécessite une plus grande complexité dans la mise en place, la préparation et l’exécution des scènes. Les étapes nécessaires à cette élaboration augmentent, rendant nécessaire et systématique un usage de la sinopia de plus en plus poussé. On observe donc toujours : un usage généralisé de la sinopia, un découpage de grandes surfaces en pontate et giornate, et une finition plus ou moins importante à la détrempe.

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La renaissance
L’évolution mentionnée pour le 16e siècle se poursuit, surtout en Italie, toujours parallèlement à l’évolution esthétique, qui on le sait, est considérable à la Renaissance avec le développement de la perspective, et la liberté des compositions, l’agrandissement des dimensions des scènes peintes. Cette évolution engendre la nécessité de préparer d’abord une esquisse à petite échelle sur papier, puis un agrandissement de celle-ci sur le mur pour la mise en place de la composition. On a donc une évolution, allant vers la disparition progressive de la sinopia, et l’on voit apparaître la mise en place au poncif, c’est-à-dire avec un poinçon à partir de calques, dont on peut observer les traces sur de nombreuses peintures de cette époque. On assiste donc à une rupture avec la technique précédente, puisqu’il y n’y a plus de mise en place in situ de la composition : la technique d’exécution va donc évoluer en conséquence, même si cette rupture s’est faite en réalité de façon continue, et que l’on peut observer pendant toute une période de nombreuses variantes intermédiaires


Le XVIe siècle

Pour résumer cette époque, on peut dire qu’on assiste, en Italie puis ailleurs, à une rivalité entre la fresque et les nouvelles techniques à l’huile, techniques donnant aux artistes des possibilités nouvelles pour le traitement des volumes, des nuances, modelés, etc. Face à cette concurrence, certains artistes, comme Michel-Ange [18] et Raphaël, pousseront l’art de la vraie fresque à la limite de ses performances, mais peu à peu l’usage des techniques à l’huile influencera les artistes, et on verra de plus en plus se répandre les nouvelles techniques ; de nombreux édifices seront désormais décorés à l’huile.

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3.5. Renaissance
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Fontainebleau, château, peintures de la salle de bal(16e s.) ; vue,  coupe stratigraphique
L’évolution mentionnée pour le 16e siècle se poursuit, surtout en Italie, toujours parallèlement à l’évolution esthétique, qui on le sait, est considérable à la Renaissance avec le développement de la perspective, et la liberté des compositions, l’agrandissement des dimensions des scènes peintes. Cette évolution engendre la nécessité de préparer d’abord une esquisse à petite échelle sur papier, puis un agrandissement de celle-ci sur le mur pour la mise en place de la composition. On a donc une évolution, allant vers la disparition progressive de la sinopia, et l’on voit apparaître la mise en place au poncif, c’est-à-dire avec un poinçon à partir de calques, dont on peut observer les traces sur de nombreuses peintures de cette époque. On assiste donc à une rupture avec la technique précédente, puisqu’il y n’y a plus de mise en place in situ de la composition : la technique d’exécution va donc évoluer en conséquence, même si cette rupture s’est faite en réalité de façon continue, et que l’on peut observer pendant toute une période de nombreuses variantes intermédiaires [17].  
  Le XVIe siècle

Pour résumer cette époque, on peut dire qu’on assiste, en Italie puis ailleurs, à une rivalité entre la fresque et les nouvelles techniques à l’huile, techniques donnant aux artistes des possibilités nouvelles pour le traitement des volumes, des nuances, modelés, etc. Face à cette concurrence, certains artistes, comme Michel-Ange [18] et Raphaël, pousseront l’art de la vraie fresque à la limite de ses performances, mais peu à peu l’usage des techniques à l’huile influencera les artistes, et on verra de plus en plus se répandre les nouvelles techniques ; de nombreux édifices seront désormais décorés à l’huile.


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château d'Oiron (France, dept 79); galerie Renaissance.
Exemple : château d’Oiron, galerie Renaissance

Si dans certaines œuvres, comme à Fontainebleau, les artistes (généralement italiens) pratiquaient vraisemblablement l’exécution à fresque, dans d’autres cas on voit se manifester l’influence grandissante, déjà mentionnée, de la technique à l’huile. C’est le cas à Oiron, où les peintures de la galerie Renaissance, exécutées au milieu du 16e siècle (1545-49) présentent une technique originale qui est la suivante* : · un mortier de préparation à base de chaux et de sable, mais dans lequel on décèle des traces de caséine ; · une couche de préparation à base d’ocre rouge et de blanc de plomb, contenant également de la caséine ou de l’huile ; · une couche picturale avec un liant à l’huile ; principaux pigments : azurite, ocres, vermillon, bleus-verts à base de cuivre .

 

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3.6. 17e et 18e siècles
  Nous ne développerons pas ici les techniques du baroque, ayant choisi, comme cela a été dit au début de cet exposé, de consacrer cette présentation aux époques les plus caractéristiques de l’art mural en tant que tel. Mentionnons simplement qu’à cette époque, on assiste, dans le prolongement du XVIe siècle, à une juxtaposition des techniques à la fresque et à l’huile, avec une complexité croissante pour la fresque, visant à obtenir le même genre d’effet que la technique à l’huile. La diversité des techniques s’accroît, se rapprochant ainsi de celles de la peinture de chevalet. L’intonaco lisse et translucide fait souvent place à une matière rugueuse et plus épaisse ; l’usage du poncif est noté de façon presque systématique, comme au siècle précédent, les giornate sont également visibles. Ayant eu peu d’occasion d’étudier ce type de peintures, nous donnerons simplement l’exemple du Val de Grâce, à Paris, dont la coupole a été peinte par Mignard.

Exemple : Val de Grâce, peintures de la coupole (ci-contre)

Réalisées par Mignard, (dit Le Romain) en 1669, ces peintures se sont révélées être exécutées selon une technique qui cherche à se rapprocher de la fresque. En effet, l’analyse n’a révélé aucun liant organique, dans les couches picturales, bien que l’enduit à base de chaux contienne de la caséine (chaux encollée). Les pigments sont passés souvent en plusieurs couches, et la stratigraphie de certains prélèvements fait penser à une technique de fresque ; celle-ci est pourtant loin d’être parfaite, comme le montrent les nombreuses altérations dont a souffert la peinture. On peut donc penser qu’il y a eu une réalisation au moins partielle à fresque, l’exécution étant terminée soit sur une enduit déjà sec, soit avec un liant aujourd’hui disparu ou indécelable.

 
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3.7. 19e et 20e siècles
  L'évolution esthétique du 19e siècle, allant vers un goût essentiellement illusionniste éliminant les structures de perspective mises en place à la Renaissance, amène une sorte de remise en cause de la peinture murale en tant qu’art spécifique, et évolue vers des compositions qui remplacent, en quelque sorte, d’immenses tableaux peints, abolissant le caractère architectural propre à cet art. Les artistes gardent néanmoins à l’esprit les compositions anciennes, et mènent des recherches dans plusieurs directions pour mettre au point et utiliser des techniques nouvelles, utilisant divers matériaux : cires, colles, bitume, résines. La découverte des fresques antiques de Pompéi les incite également à rechercher ce qu’ils pensent être un « secret perdu » relatif aux techniques anciennes, et à explorer avec précision les textes anciens (Pline, Vitruve), les conduisant parfois à des interprétations erronées comme l’idée de l’utilisation de cire ou d’encaustique pour les peintures romaines, comme on l’a vu précédemment.

Le principal exemple que nous citerons ici est celui de Delacroix, avec la décoration du Palais Bourbon (traitée par ailleurs) et de la chapelle des Anges à l’église Saint-Sulpice à Paris. Il utilise alors des mélanges d’huile et de cire appliqués sur l’enduit, mais avec des variantes souvent complexes rappelant certaines peintures de chevalet sophistiquées par le nombre de couche et la variété des produits présents. Les études faites par le LRMH* sur ces peintures ont d’ailleurs montré qu’il effectuait des recherches en liaison avec le développement de l’industrie chimique, et ces divers essais ont été consignés dans un journal de chantier. On y voit d’ailleurs qu’il n’a pas utilisé une seule technique pour l’ensemble de la chapelle, ni même pour une seule composition, mais que ces techniques variaient en fonction de critères divers, ou peut-être d’idées nouvelles lui venant à l’esprit au fur et à mesure de l’exécution de l’ensemble ou de l’évolution de ses connaissances.

 
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Exemple : Delacroix, peintures de l’église St Sulpice à Paris (chapelle des anges)
(ci-dessus et ci-contre)
Ces peintures sont exécutées à partir de 1853, avec une suite d’interruptions et de reprises. 
 
 

La technique est caractérisée comme suit :
(coupe stratigraphique ci-contre, en bas)
· l’enduit est à base de plâtre (donc, rupture ici avec la tradition de la fresque), passé souvent en plusieurs couches, peu encollées mais contenant des produits d’imprégnation tels que des cires végétales (cire de Carnauba) ;

· les couches suivantes sont nombreuses (jusqu’à 14) et à base de différents mélanges : huile, huile-résine, cire, etc. ; cette technique, qui multiplie les couches de préparation et les couches picturales, n’est pas sans rappeler certaines peintures de chevalet par sa sophistication.

La technique n’est d’ailleurs pas la même d’un endroit à l’autre de la chapelle ; beaucoup de renseignements peuvent être tirés du journal de chantier que tenait le peintre, sur lequel il consignait ses directives et ses expériences. La réalisation était d’ailleurs confiée en partie à des élèves, et n’était toujours pas achevée en 1860, soit après 10 ans. C’est ce qui explique cette disparité constatée dans la technique, ainsi qu’un certain nombre de contradictions qui ressortent du journal au cours de cette longue période.

 
  Quoi qu’il en soit, on peut noter que cette technique constitue, dans le cas présent, un facteur important d’altération car la multiplication des couches à base de résines, huiles, etc., crée une barrière étanche à la moindre humidité, et multiplie les interfaces, lieux privilégiées de rupture ou de décollement des couches picturales.

Quant aux peintures du XXe siècle, il serait difficile d’en faire un exposé exhaustif, tant l’art contemporain se caractérise par une diversité et un foisonnement dans toutes les directions. On citera l’exemple, que nous avons étudié au LRMH*, des peintures de Jean Cocteau à la chapelle de Milly-la-Forêt, dont la conception s’intègre à peu près dans la conception de l’art mural telle que nous l’avons définie au début de cet exposé. Ces peintures sont réalisés avec les matériaux modernes (c’est-à-dire de 1953), autrement dit des résines vinyliques et acryliques, appliqués sur des parois en béton : plus d’arriccio, ni d’intonaco donc...Ici encore, la technique utilisée explique la fragilité de l’œuvre. Il faut dire, pour l’anecdote, que Cocteau avait décoré cette chapelle de peintures pour permettre sa protection au titre des monument historiques alors qu’elle était menacée de démolition. Une fois peinte, et signée par l’artiste, la question se posait différemment...

 
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 peintures de J. Cocteau à Milly-la-Forêt (France, 77)

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LIENS:



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